Près de la source du ruisseau de l'Olig (« Oligsbaach »), qui, après un très court parcours, se jette à Emeringen dans le ruisseau Altbach ou « Gaanerbaach » et qui devient souvent un torrent impétueux, rôde le petit homme de l'Olig (« Oligsmännden »). Malheur à celui qui se laisse apercevoir sur la prairie au coucher du soleil ! Il est irrémédiablement perdu, car aussitôt, le vieillard inquiétant le saisit par les cheveux et l’entraîne avec lui dans les profondeurs de l'eau.
(Eug. Klein)


